Synode (mise à jour)

Dans le journal "Eglise en Guadeloupe" Avril 2022

Ci-dessous la vidéo du “Lancement de la Pastorale d’ensemble, du samedi 12 février 2022.” (cliquez sur regarder sur YouTube)

Tout d’abord le Père Gérard Foucan fait un bilan de ce qui a déjà été fait puis Mgr David Macaire nous livre sa réflexion, son rêve pour la Pastorale d’Ensemble. (a écouter ci-dessous, ou à lire sous la vidéos.)

Mgr Macaire 12/02/22  (rencontres des ambassadeurs en chantier)

Bômatin la sa cé bômatin lapentkôt

 

« En me levant ce matin et en pensant à ce rassemblement en multiplexe (Cpso, Eglise de Prise d’Eau, de St Pierre et Paul, du Raizet) j’ai pensé à la Pentecôte, j’ai pris comme une bouffée d’Esprit Saint car de cette journée, de cette année même, peuvent jaillir des fruits nombreux !

 

Un évènement fort nous a surpris, comme l’Esprit Saint peut nous surprendre, c’est le désir du Nonce qui a souhaité nous rassembler et nous interroger sur le nouvel évêque ; d’abord les prêtres, les religieuses en décembre, puis les ambassadeurs laïcs en janvier. A travers le nouvel évêque ce n’est pas tellement un homme mais une Eglise qui est interrogée, une Eglise synodale qui marche ensemble. Cela ne sert à rien de nommer le meilleur des hommes si derrière il n’a pas un peuple – avec ses grandeurs et ses limites – un peuple en synode, en marche. Ces réunions m’ont déjà donné un « balan » intérieur, et c’est dans ce tsunami là que je suis en train de courir, d’avancer avec vous.

 

Vous êtes donc une armée prête au combat, un peuple en marche. Vous les ambassadeurs (prêtres, religieuses et laïcs) êtes des jardiniers prêts à labourer, à sarcler, à désherber, à planter et à patienter.

 

Un jardinier a de bonnes méthodes : la méthode principale est celle de la fiche : FFPO (Force Faiblesse Projet Obstacle). Cette fiche permet de réfléchir seul ou en communauté. En sous chantiers elle permet de donner les 3 forces, 3 faiblesses etc.

 

Cette méthode va nous permettre de synthétiser après avoir dialogué, écouté, discuté avec nos frères dans tous les milieux dans lesquels nous sommes. Puis se rassembler en sous chantier, dialoguer et remplir la fiche de manière synthétique.

 

L’arbre :

 

racines : En ce matin de Pentecôte pour nous, on ne peut pas ignorer nos racines. L’HISTOIRE de notre peuple, la traite, l’esclavage, la colonisation, l’immigration, l’assimilation politique et administrative, l’évangélisation.

 

Dans ces racines il y a L’EGLISE, le clergé local, la disparition du clergé missionnaire, le développement et la provocation des mouvements évangéliques protestants qui nous interpellent et nous remettent en question ; les remises en cause par la franc-maçonnerie ; les affaires d’abus et les accusations contre le clergé et les catholiques.

 

En même temps dans nos racines il ne faut pas ignorer de bonnes choses : la décolonisation du diocèse (nos Eglises en Guadeloupe et Martinique ne dépendent pas de la France ou du Vatican pour notre existence ou nos orientations pastorales etc ), nous sommes en liens avec le Pape et les autres épiscopats mais nous avons une indépendance économique et spirituelle. Notre Eglise a son poids social : nous sommes attendus. On compte sur nous ! Même ceux qui sont loin de nous : ils attendent une Parole, une façon de vivre : « Voyez comme ils s’aiment ! ». Ici ce matin, cette responsabilité nous incombe.

 

Dans ces racines, il y a le Synode 1995. Il y a d’ailleurs un sous chantier, avec Père Plaucoste, qui réfléchira sur le bilan de ce synode pour vivre et porter du fruit.

 

 

tronc (ce qui est aujourd’hui) : la réflexion va se faire dans les sous-chantier sur :

 

La spécificité du diocèse (P.Numa & Diacre Freddy) ; les îles et l’archipel guadeloupéen (P.Lavaud et P.Vincent de Paul) ; La question des réseaux catholiques et implication dans la société (associations,  politiques,  media…) ; Le catéchisme qui est encore important dans notre diocèse. La messe dominicale. Nos traditions, nos bâtiments (presbytères, salles paroissiales, chapelles…). Ça c’est notre patrimoine, ce que nous avons aujourd’hui !

 

Nous avons aussi un sens certain que j’admire comme administrateur, un sens de l’organisation dans le diocèse de Guadeloupe, par les fidèles et les prêtres, qui est assez impressionnante ; ne serait-ce qu’aujourd’hui, avec les moyens techniques, la régularité et la fidélité des ambassadeurs présents dans les différents lieux ce matin. C’est émouvant ! Les choses sont en places et nous savons être solidaires. Nous devons penser à ces points positifs car nous sommes souvent plus forts dans l’auto critique.

 

Malheureusement ce que nous avons aujourd’hui dans le tronc de cet arbre c’est la crise démographique violente de notre île, avec le départ de nos jeunes et le vieillissement rapide de la population ; La crise sanitaire, sociale, politique qui va laisser des éléments très profonds dans les années avenir.

 

Il y a aussi dans ce tronc des éléments qui nous aident : le clergé local, le clergé venu d’ailleurs qui nous renforce avec des nouveautés (il le faut pour ne pas se recroqueviller sur nous). Le diaconat permanent avec le père Denis (responsable). La féminisation qui est à la fois une richesse, une force car dans nos églises il y a environ 80% de femmes, c’est donc bien une richesse, mais à la fois donc une pauvreté du point de vue masculin. 

 

Il y a dans ce tronc la situation morale des jeunes (cohabitation, instabilité sexuelle et professionnelle, tout le questionnement que nous les adultes nous faisons peser sur ces jeunes au niveau des mœurs… ils se sentent parfois alors rejetés de l’Eglise.). L’émigration massive de nos jeunes, et la question de l’intergénération. Je sais que le père Hamot -et son équipe- doit réfléchir en sous chantier sur cette question.

 

Le pape François, est aussi un élément majeur du tronc de notre Eglise aujourd’hui car il nous encourage à une « Eglise en sortie » et nous demande de vivre la Synodalité (et la décléricalisation). Il ne s’agit pas d’enlever aux prêtres un quelconque pouvoir, mais que tout le monde retrouve sa place de baptisé ! Que nous sachions, sans enlever à celui-ci, reprendre à celui-là comme s’il y avait un gâteau à partager… Or ce n’est pas un gâteau qu’on partage, c’est un feu ! Quand on partage un feu, je n’enlève pas la flamme à l’autre, la flamme se multiplie sur les bougies. Ce n’est pas un gâteau de pouvoir que nous partageons mais le Feu du Service. Dans le feu du service, plus tout le monde fait, plus on fait, plus chacun est à sa place et plus on est heureux et plus la Mission avance. C’est vraiment le travail de la Synodalité.

 

La question aussi des nouvelles technologies de l’information et de la communication NTIC (Fred Nomed comme responsable de sous chantier avec Laetitia Penava), doit être au cœur de notre vie de l’Eglise notamment avec la crise sanitaire et les réunions Zoom, mais avec discernement et sans naïveté.

 

On attend un nouveau pasteur, c’est un élément majeur et extraordinaire pour nous en Guadeloupe.

 

Un autre élément de ce tronc, c’est la dévotion populaire. Hier 11 février, c’était Notre-Dame de Lourdes, j’étais à Beausoleil (Vieux-Habitants) mais il y avait aussi à Massabielle et ailleurs des rassemblements très beaux, et parfois des neuvaines de prières. Je remercie les pasteurs d’encourager, comme le demande le Pape dans Evangelii gaudium, cette dévotion populaire. Ce peuple de Dieu qui aime se rassembler dans ses traditions est une de nos principales forces !

 

Il y a aussi dans ce tronc, l’Enseignement catholique (DDEC), le service des pauvres (Secours Catholique, St-Vincent de Paul etc). C’est ce que nous avons !

 

Mais nous avons un élément négatif dans ce tronc, c’est l’obsolescence de notre modèle économique. Frères et sœurs, le modèle économique de l’Eglise aujourd’hui repose sur les quêtes du dimanche, et nous vivons de ce qu’on nous donne. Avec le vieillissement de la population, la crise sanitaire et les confinements, on voit bien aujourd’hui que le modèle économique de l’Eglise est en déficit. Notre Eglise est très pauvre – et non riche comme certains le croient – et il faut vraiment que les catholiques donnent au « Denier de l’Eglise » sinon on ne peut plus financer les réparations des églises. On ferme des chapelles. Et heureusement qu’on a encore un lien avec l’Etat pour certaines églises qui appartiennent à l’Etat. Sinon nous, on n’a plus les moyens ! Les moins de 50 ans ne donnent plus. Des couples de 40 ans ne demandent plus de messes. Or ces demandes de messe, c’est ce qui permet de nourrir les prêtres tout simplement. Cette question est un vrai souci actuel, aujourd’hui : le renouvellement de notre modèle économique, de notre rapport à l’Eglise. Dans d’autres communautés, les fidèles donnent systématiquement 10% de leur revenu chaque mois ! Donc des « Eglises » beaucoup moins nombreuses que nous ont bien plus de moyens que nous pour faire progresser leur mission (conversion de leur media, numérisation ; renouvellement du site …)

 

Feuilles (ce sont les sous-chantiers) : captent l’énergie et donne de la force mais peut mourir : 

 

La Synodalité de notre Eglise. C’est un fait, nous marchons ensemble et les catholiques de Guadeloupe l’ont bien compris ! Par contre il y a quelque chose qui doit se terminer : le CBAF = « chak bèt à fé ka kléré pou nam li ». C’est bien que prêtres, diacres, fidèles avancent ensemble ; mais il ne faut pas que tel petit groupe s’oppose à tel autre petit groupe. C’est une décision qui doit habiter notre cœur sinon on va empêcher aux feuilles de notre arbre, à la synodalité, de prendre l’énergie de l’Esprit Saint, et notre arbre ne portera pas de fruits, si chacun nous continuons de tracer notre sillon sans regarder ce que vit l’autre. Il ne s’agit pas de changer soi-même mais d’avancer ensemble et de travailler ensemble. Entre prêtres et laïcs c’est acquis. Mais ce qui ne l’est pas encore c’est entre certains groupes (la pastorale des jeunes et tel mouvement ; la chorale et le groupe des funérailles etc.), même entre certaines chorales de même paroisse ! Il faudra vraiment mettre en place une pensée synodale !

 

1 – Les feuilles, ce sont les COMMUNAUTES :

Le presbyterium (Père Roland est chargé de la réflexion sur la fraternité dans le presbyterium).

 

Les paroisses (Père Patrix) qui doivent réfléchir à leur accueil. Des nouveaux arrivants se sentent-ils accueillis, dans une communauté ? Ça c’est un élément majeur de notre réflexion ! D’autres « Eglises » savent très bien accueillir ! Ici dans nos paroisses, quelqu’un qui vient, tout triste car il a perdu un membre de sa famille, peut-il être écouté et accompagné ?

 

Les TKL (Père Blanchard responsable). Cela doit être une préoccupation de tous les prêtres, et les fidèles… Les communautés religieuses (Père Juste). Les communautés nouvelles de laïcs prêtres et consacrés (Communautés du Chemin Neuf ; Vie et Partage ; l’Emmanuel…) sont essentielles au dynamisme de notre Eglise. C’est là qu’on capte l’énergie. Les pastorales. Les mouvements (Scout ; Mysion lari ; action catholique…). Le Renouveau Charismatique que j’appelle à être profondément renouvelé et à foncer sans complexe car l’Esprit est là et attend ce renouvellement. Car le nouveau est aux frontières de l’Eglise. Il y a eu plus de 200 millions de conversions – de personnes qui sont rentrées dans l’Eglise catholique- dans le monde grâce au Renouveau. Donc il faut développer ce mouvement.

L’Ecoute et l’accompagnement, l’exorcisme (Père Anthony et Huguette Boqué Olanor animent un chantier sur cette question). La Vie Spirituelle et l’Animation Biblique de la Pastorale (ABP) avec père Jonas.

 

2 – Les feuilles ce sont aussi les FAMILLES :

La pastorale familiale (avec le Diacre JM Lapoussin et sa femme Viviane), la catéchèse (Gisele Acomat), la pastorale des hommes, la pastorale des jeunes (Père Kaze), les vocations (Père Foucan) ce sont des lieux qui existent déjà et doivent être en positionnement comme des panneaux solaires pour recevoir toute l’énergie. Ce sont vraiment des lieux où l’Eglise prend vie.

 

3 – La question de L’IDENTITE ; de la formation (Père Saint-Clair), du catéchuménat sont aussi des lieux essentiels de captation d’énergie pour notre Eglise

 

C’est beaucoup de chose, je le sais. Mais je suis obligé de vous partager la préoccupation du pasteur. C’est une préoccupation globale. Vous allez vous réunir en chantier et vous fixer sur un des éléments.

 

4- Les QUESTIONS SOCIALES : La diffusion de la Pensée Sociale de L’Eglise (« Laudato Si » du Pape François), la question de l’écologie. La question de la dignité du travail humain (père Paul-Antoine). Et toutes les questions sociétales qui sont au cœur, et l’Eglise comme dit le concile Vatican 2 n’est en dehors d’aucune de ces questions. Nous ne pouvons pas nous laver les mains en disant « moi c’est le Bon Dieu et la messe et le reste non ». L’Eglise a reçu mission de porter au cœur de notre réflexion les questions sociales, cela fait partie de l’ADN de l’Eglise Catholique.

 

■ Les Fruits qui viendront… ou pas :

Les fruits seront les   5 essentiels (Ac 2,42 – 47)  Ils étaient assidus à l’enseignement des Apôtres et à la communion fraternelle, à la fraction du pain et aux prières. La crainte de Dieu était dans tous les cœurs à la vue des nombreux prodiges et signes accomplis par les Apôtres. Tous les croyants vivaient ensemble, et ils avaient tout en commun ; ils vendaient leurs biens et leurs possessions, et ils en partageaient le produit entre tous en fonction des besoins de chacun. Chaque jour, d’un même cœur, ils fréquentaient assidûment le Temple, ils rompaient le pain dans les maisons, ils prenaient leurs repas avec allégresse et simplicité de cœur ; ils louaient Dieu et avaient la faveur du peuple tout entier. Chaque jour, le Seigneur leur adjoignait ceux qui allaient être sauvés.)

 

1-Le Témoignage: il faut apprendre aux communautés, aux mouvements, aux jeunes, aux femmes, aux hommes, aux pécheurs de témoigner de leur foi. Comme je suis ému à la prison quand je vois des prisonniers témoigner de leur foi à d’autres prisonniers

 

2-Le Service : nous savons servir dans l’Eglise. Mais le rêve, le fruit, c’est que chaque chrétien ait un service. Que chaque baptisé ait quelque chose à faire dans l’Eglise. Que chacun ait une fonction. Même le couple non marié, il faut qu’il ait une fonction dans notre Eglise. C’est par le service que l’on rencontre le Christ et que l’on vit l’Evangile. Le service n’est pas réservé aux bons chrétiens. A la limite cela serait ceux qui ne devraient pas servir pour laisser la place.

 

3-La prière : voilà un fruit profond ; conduire les hommes et les femmes à rencontrer Dieu face à face.

 

4-La fraternité : qu’aucun d’entre nous ne se sente seul dans l’Eglise ou rejeté.

 

5-La formation : se sentir former dans la Parole de Dieu, dans ma vie de tous les jours. Si je suis en couple, si je suis un catéchiste, un choriste, que je sente que l’Eglise me fait grandir en humanité et prend soin de moi. Le mot « curé » veut dire cela : prendre soin. La synodalité veut dire que nous devons prendre soin les uns des autres. Prendre soin de nos prêtres, prendre soin de notre évêque. Ne le laisser pas tout seul celui qui viendra quand il viendra (en créole dans le texte). Ne le laisser pas tout seul dans son Evêché à Basse-terre. Pa léséy tou sèl !!

 

FAISONS UN RÊVE…

 

Les fruits qui viendront sont les fruits de guérison, de réconciliation ! Je vous demande de rêver pendant que je suis en train de parler, pas une utopie, mais un rêve dans la foi. Si nous l’avons dans le cœur je suis sûr que ça arrivera, vraiment ! Ce matin, c’est un matin de Pentecôte ! De réconciliation dans nos couples, dans nos familles, de justice et de paix.

 

Des fruits aussi en termes de vocations. Pas seulement de prêtre, mais de fidèles engagés, de baptisés, de jeunes qui désirent le mariage, pas pour faire plaisir à maman mais parce que Dieu est là et qu’il y a un appel. Des vocations de missionnaires, de religieuses, de religieux, de femmes consacrées.

 

Je vous demande de rêver à une solidarité réelle où un couple chrétien qui a besoin d’aide pour aller chercher ses enfants, sait qu’il peut compter sur la TKL. Où on donne la moitié d’une patte de banane à sa voisine, où on s’entre-aide. Il faut que cela revienne ! Il faut que nous rêvions. C’est l’Eglise qui doit réaliser cela !

 

Je vous demande de rêver en termes de beauté. Hier à Beausoleil j’ai admiré le jardin fait par les paroissiens, même les journalistes étaient impressionnés. On a besoin de beauté ; de lieux de contemplation, de propreté, ou on replante notre pays avec des fleurs.

 

Je vous demande de rêver aussi en termes de financement. Que notre Eglise retrouve des fidèles joyeux de donner librement à leur Eglise. En sachant que ce don les bénit, et permet de restaurer et d’entretenir des bâtiments. D’avoir des projets nouveaux pour notre jeunesse, de les envoyer en formation, en camp, en mission.

 

Je vous demande de rêver à une écologie de l’Homme et de la nature ensemble.

 

De rêver à la libération de tant de personnes qui ont besoin de délivrance d’esprit de haine, de rejet, d’écrasement, qui ont subi le mal, de ceux qui ont subi des attouchements et des abus. Il y en a tellement !

 

Je vous demande de rêver de réussite pour nos jeunes. Pas de réussite sociale pour avoir une grosse voiture ou un gros métier ! Mais de réussite humaine faite de joie, de fierté. Oser travailler à la mer, travailler la terre, travailler dans les services. Que nos jeunes développent leurs talents ! Combien de Mozart assassine-t-on aujourd’hui en Guadeloupe ?

 

Je vous demande de rêver de vérité, de liberté, et même de sainteté !

 

Ce matin nous avons la possibilité de jeter les bases, les graines de cet arbre-là.  Il portera des fruits car il les a déjà portés et il les porte encore.

Rm8,34-39alors, qui pourra condamner ? Le Christ Jésus est mort ; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, il intercède pour nous : alors, qui pourra nous séparer de l’amour du Christ ? la détresse ? l’angoisse ? la persécution ? la faim ? le dénuement ? le danger ? le glaive ? On nous massacre sans arrêt, et on nous traite en brebis d’abattoir. Mais, en tout cela nous sommes les grands vainqueurs grâce à Celui qui nous a aimés. J’en ai la certitude : ni la mort ni la vie, ni les anges ni les Principautés célestes, ni le présent ni l’avenir, ni les Puissances, ni les hauteurs, ni les abîmes, ni aucune autre créature, rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur.”…. Amen !

(Chant à L’Esprit Saint)

RAPPEL POUR LES AMBASSADEURS, DES ECHEANCES AVENIR

 

12 Février au 12 Avril 2022 :  Le sous-chantier est au travail à partir des consignes indiquées par le responsable de sous-chantier… Plusieurs dates de rencontres sont à prévoir. Chacun organise sa méthode de travail…

 

-12 Avril au 29 Avril : Le responsable de sous-chantier relit les fiches et fait la synthèse des fiches.

 

-30 Avril au 13 Mai : Le responsable de chantier relit les fiches des sous-chantiers et fait la synthèse.

 

-14 Mai au plus tard : Le responsable de chantier remet toutes les fiches au bureau de la pastorale d’ensemble : pastoraledensemble@gmail.com

 

-14 Mai au 07 Juin : Temps de travail pour le bureau de la pastorale d’ensemble : Préparation du document à remettre à Mgr MACAIRE= pistes du projet pastoral à remettre au nouvel évêque.