L’accueil et l’accompagnement au centre des débats au Secours Catholique

Pendant le week-end de la Pentecôte, le Secours Catholique a initié une cession de formation sur l’accueil et l’accompagnement à l’attention des bénévoles qui opèrent au sein de ses structures.
L’accueil et l’accompagnement au centre des débats au Secours Catholique
 
Pendant le week-end de la Pentecôte, le Secours Catholique a initié une cession de formation sur l’accueil et l’accompagnement à l’attention des bénévoles qui opèrent au sein de ses structures. Pourquoi cette formation, simplement parce que aujourd’hui, il n’y a plus de place pour l’à peu près, même le bénévolat se professionnalise : « j’interviens sur toute la problématique de l’accueil et de l’accompagnement puisque de plus en plus les organisations comme le Secours catholique, veulent que les bénévoles puissent être le plus performant possible. Il convient de pouvoir aborder avec eux les axes de formation qui leur permettent de voir la dimension dans laquelle chacun d’eux évolue. Maintenant il s’agit de passer de l’accueil à l’accompagnement en traitant le volet des compétences humaines et sociales, tout ce qui concerne l’identité du bénévole afin qu’il puisse comprendre les enjeux et se saisir du maximum de compétences pour pouvoir recevoir la souffrance de l’autre et l’aider dans ses difficultés », nous a confié Gérard Bulin-Xavier, sociologue anthropologue et intervenant pour cette formation.
 
N’est pas bénévoles qui veut
Il y a des choses qui relèvent de la noblesse du bénévolat, il faut bannir cette idée qui consiste à dire que le bénévolat c’est l’affaire des retraités : « Nous ne sommes pas là seulement pour distribuer de la nourriture ou des vêtements. Si la distribution de vivres reste une de nos activités principales, nous avons un autre rôle qui est d’accueillir, d’écouter, de porter une aide psychologique, de réconforter les personnes en difficultés et bien sûr de leur venir en aide. Celui qui sort du Secours catholique doit trouver ce réconfort, cette chaleur humaine et se sentir mieux dans sa peau. Je suis à la retraite et j’aurais pu rester chez moi, si j’ai choisi d’être bénévole, ce n’est pas pour occuper mon temps libre, mais simplement par amour de mon prochain, un choix qui me vient du cœur », nous a confié Arthur Reine, bénévole au Secours catholique des Abymes. En effet, le bénévole est une vocation, il faut savoir que la difficulté n’est pas toujours ponctuelle et elle peut s’étendre sur un mois, plusieurs mois, une année…, et pour cela, il faut un certain accompagnement. Il faut pénétrer la confiance de la personne, en difficulté, lui rendre visite ou passer un coup de fil, des pratiques qui montrent le lien étroit entre le bénévole et celui qui traverse une mauvaise passe. Il y va de la dignité de l’individu, d’où une certaine approche pour répondre à la demande des gens tout en respectant leur dignité.
                                                        .               Jeremiah CARLTON
 

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